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La prothèse totale de hanche dans tous ses états

La prothèse totale de hanche dans tous ses états

Patrice Mertl | Denis Huten

(2017)

Additional Information

Book Details

Abstract

La prothèse de hanche dans tous ses états livre un état de l’art documenté, argumenté et dresse les perspectives de réflexion sur l’arthroplastie de première intention en constante évolution.

Toute la démarche de l’ouvrage est guidée par la question : « Que fait le chirurgien confronté à telle ou telle situation », et fait le point sur les différents choix que doit faire le chirurgien :

––les voies d’abord ;

––la planification ;

––les prothèses (cupules de frottement, modes de fixation et diamètre des têtes prothétiques) ;

––les objectifs mécaniques ;

––les concepts prothétiques particuliers ;

––l’environnement de la chirurgie ;

––les spécificités des prothèses de hanche chez les sujets jeunes et/ou actifs.

Plus de soixante-dix auteurs, experts reconnus de l’arthroplastie de hanche, expriment souvent des points de vue différents, parfois contradictoires, mais qui enrichissent considérablement le sujet.

Table of Contents

Section Title Page Action Price
Cover\r Cover
La prothèse totale de hanche dans tous ses états III
Copyright\r IV
Liste des auteurs V
Préface IX
Abréviations XI
Sommaire XIII
Partie I Les voies d'abord 1
Prothèse de hanche par voie antérieure\r 3
Intérêt de la table d'extension spécifique 3
Introduction 3
Technique opératoire standard 3
Table orthopédique 3
Installation du patient 4
Incision cutanée et gestion des muscles périarticulaires 4
Abord articulaire et section du col 5
Préparation du cotyle 7
Préparation fémorale 7
Choix de l'implant, calcul des longueurs 9
Fermeture 10
Discussion 10
Conclusion 11
Références 13
Voie antérieure : les difficultés sans table orthopédique\r 15
Introduction 15
Quels sont les avantages de la voie antérieure « Hueter-Gaine » ? 15
Préservation musculaire et récupération rapide du patient 15
Réduction du risque de luxation 15
Pourquoi réaliser une voie antérieure sans extension de table ? 15
Contrôle de la longueur des membres inférieurs durant la chirurgie 16
Contrôler la stabilité de l'implant 16
Réduction du risque de fracture fémorale 16
Complexité 16
Quelles astuces pour l'exposition et l'implantation acétabulaires ? 17
Un jeu d'écarteurs 17
Préparation de l'acétabulum 18
Positionnement de la cupule 18
Quelles astuces pour l'exposition et l'implantation fémorales ? 18
Choisir ses patients en début d'apprentissage ; exclure quelques patients ensuite 18
Position de l'incision 18
Exposition fémorale 18
Position du patient 19
Instrumentation adaptée 20
Positionnement de la tige 20
Contrôle radioscopique avec la râpe d'essai puis avec l'implant définitif 20
La voie antérieure permet-elle de faire face à une fracture fémorale ? 21
Conclusion 22
Références 22
La voie antérolatérale en décubitus dorsal : quelles astuces ?\r 25
Quels sont les détails et les astuces techniques de la voie antérolatérale en décubitus dorsal ? 25
Installation et mise en place des champs\r 25
Installation 25
Mise en place des champs 25
Incision 25
Abord articulaire 26
Temps cotyloïdien 26
Temps fémoral 27
Pourquoi utiliser cette voie d'abord ? 29
Installation 29
Faible risque vasculonerveux 29
Stabilité prothétique 29
Possibilités d'extension sur le versant fémoral 30
Rapidité de récupération 30
Risque d'atteinte du nerf glutéal supérieur 30
Inconvénients 30
Difficulté 30
Fractures du grand trochanter 30
Ossifications périprothétiques 30
Fausses routes et fractures fémorales 30
Utilisation de tiges droites de longueur standard 30
Conclusion 30
Références 31
Voies directes antérolatérales\r 33
Introduction 33
Quelle est la technique des voies directes antérolatérales ? 33
Quels sont les détails techniques de la voie de Thomine ? 34
Bases anatomiques 34
Technique 34
Réduction et stabilité 37
Réparation 37
Suites opératoires 37
Discussion 37
Quels sont les résultats de ces voies d'abord ? 38
Quelles sont les complications de ces voies d'abord par rapport aux autres ? 38
Luxations postopératoires 38
Douleurs trochantériennes et lésions de l'appareil d'abduction 39
Conclusion 39
Références 40
Mini-voie d'abord postérieure de hanche\r 41
Introduction 41
Technique chirurgicale 41
Installation du patient 41
Incision et exposition 42
Temps acétabulaire 43
Temps fémoral 45
Fermeture 45
Consignes postopératoires 46
Discussion 46
La mini-voie d'abord accélère-t-elle la récupération fonctionnelle ? 46
La mini-voie d'abord accroît-elle les complications postopératoires ? 46
La mini-voie d'abord réduit-elle le taux de luxation des arthroplasties totales de hanche ? 47
Conclusion 47
Références 48
Synthèse raisonnée des voies d'abord de hanche : faut-il vraiment succomber à la mode de la voie antérieure ?\r 49
Introduction 49
Complications 49
Caractérisation des complications 49
Luxations postopératoires 50
Fractures postopératoires 50
Inégalités de longueur 51
Récupération fonctionnelle 51
Récupération fonctionnelle postopératoire 51
Fonction à long terme 51
Discussion 52
Un chirurgien adepte de la voie postérieure a-t-il un intérêt à changer d'abord pour adopter un abord antérieur direct ? 52
Stratégies pédagogiques et techniques de récupération rapide 52
Y a-t-il des indications respectives pour chaque voie d'abord ? 52
Voie postérieure 52
Voies antérieures 53
Apprentissage de plusieurs voies d'abord 53
Conclusion 53
Références 54
Partie II Planification 55
La planification préopératoire en deux dimensions conserve-t-elle une place en pratique courante ?\r 57
Introduction 57
Planification 2D : principe, technique et résultats 57
Principe 57
Technique 2D 57
Résultats 59
Paramètres intramédullaires 59
Paramètres extramédullaires 59
Longueur des membres inférieurs 59
Offset de la hanche 59
Limites de la planification 2D 59
Agrandissement radiologique 60
Principes généraux 60
Numérisation 60
Images EOS® 60
Appréciation de l'offset fémoral 61
De la planification à la réalisation de l'arthroplastie 61
Conclusion 62
Références 62
Apport de la planification 3D dans l'arthroplastie totale de hanche\r 65
Introduction 65
Limites des planifications bidimensionnelles classiques 65
Technique de planification 3D 66
Analyse 3D des longueurs : détermination des objectifs d'allongement 66
Analyse de la densité osseuse : détermination du morphotype fémoral 3D 66
Détermination du plan pelvien antérieur 67
Détermination des centres acétabulaire (COR) et de tête fémorale (CTF) avant destruction : définition du déplacement init ... 67
Analyse de l'acétabulum et détermination des objectifs d'antéversion 67
Simulation de l'implantation de la cupule : détermination du déplacement acétabulaire induit 68
Détermination du plan d'élection fémorale et analyse du morphotype fémoral 68
Choix du type d'implant et simulation de l'implantation de la tige : détermination du déplacement fémoral induit 69
Analyse des antéversions combinées : validation de l'antéversion fémorale 69
Réglage fin avec têtes modulaires 69
Techniques disponibles pour reproduire la planification 3D 69
Précision de la planification 3D 70
Planifications des troubles de torsion fémorale 70
Conclusion 71
Références 71
Apport de l'EOS® : une nouvelle approche de la planification des prothèses totales de hanche\r 73
Introduction 73
Quel est l'apport de l'EOS® à la planification de la chirurgie prothétique de la hanche de première intention ? 73
L'imagerie EOS® donne des informations utiles pour la planification en 2D et en 3D – « planification anatomique et fonct ... 73
Paramètres spinopelviens mesurés en EOS® 74
Analyse des données EOS® de profil : les mécanismes de compensations dans le plan sagittal 76
Analyse des données EOS® de face : bassins obliques et inégalités 76
Comment planifier la position de la cupule et de l'implant fémoral ? 76
L'EOS® permet-il d'évaluer la qualité de l'implantation prothétique ? 79
L'EOS® fait-il mieux que le scanner pour la planification ? 81
Conclusion 82
Références 82
Planification préopératoire 3D à partir de l'imagerie biplane à basse dose\r 83
Introduction 83
Principes du système d'imagerie EOS® 83
Logiciel sterEOS® 84
Logiciel hipEOS® 84
Intérêt de la planification par le logiciel hipEOS® 85
Conclusion 85
Références 86
Partie III\rLes prothèses 87
Section I\rCouples de frottement 89
La réticulation du polyéthylène : Graal de la prothèse totale de hanche ? 91
Le polyéthylène (PE) hautement réticulé a-t-il significativement réduit l'usure et avec quel recul ? 91
Le PE hautement réticulé a-t-il diminué le taux de reprise et augmenté la longévité des implants ? 91
Peut-on encore utiliser aujourd'hui du polyéthylène conventionnel ? 92
L'apport de la vitamine E au polyéthylène hautement réticulé est-il bien démontré ? 94
Le polyéthylène hautement réticulé a-t-il un intérêt pour les cupules à double mobilité ? 96
Conclusion 96
Références 97
Le mariage du polyéthylène : métal ou céramique ? 99
Introduction 99
Quels sont les avantages et les inconvénients des têtes en céramique par rapport aux têtes métalliques ? 100
Têtes en céramique d'alumine 100
Avantages 100
Études sur simulateurs 100
Études cliniques 100
Registres 101
Inconvénients 101
Fractures de tête 102
Transfert de particules métalliques 102
Zircone 102
Céramique Delta® 103
Têtes métalliques traitées 104
Quelle est l'influence du diamètre de la tête sur l'usure du PEC ? 105
Les différences sont-elles toujours réelles face au PE hautement réticulé (HXLPE) ? 106
Améliorations du PEC 106
PE hautement réticulé 106
Que reste-t-il de l'influence du diamètre de la tête sur l'usure avec le HXLPE ? 107
Études in vitro 107
Études cliniques 107
Quelles sont les conséquences du choix d'une tête (matériau, diamètre) sur la jonction tête-cône morse ? 108
Références 110
Pourquoi rester fidèle à la céramique d'alumine ?\r 113
Introduction 113
Qu'est-ce que la céramique d'alumine de 3e génération et comment se différencie-t-elle de la matrice composite d'alumin ... 113
Quelles sont les propriétés tribologiques de l'alumine ? 115
Quels sont les résultats de la céramique d'alumine à très long terme ? 115
Le risque de fracture et de squeaking de la céramique d'alumine de 3e génération sont-ils différents de ceux des MCA ... 116
Risque de rupture 116
Squeaking 117
Peut-on augmenter le diamètre des têtes en céramique d'alumine au-delà de 36 mm ? 118
Conclusion 118
Références 119
La céramique d'alumine composite ZTA en chirurgie orthopédique – BIOLOX® delta 121
Introduction 121
Composition du BIOLOX® delta 121
Les propriétés du BIOLOX® delta 123
Stabilité à long terme 123
Vieillissement hydrothermal 123
Comportement face à l'usure 124
Résultats cliniques 126
Fretting corrosion » 126
Fixation conique 126
Bruits articulaires 127
Taux de fracture 127
Séries cliniques 128
Développement de nouveaux dispositifs 128
Conclusion 129
Références 129
Le couple métal-métal : peut-on encore y croire ? 131
Introduction 131
Y a-t-il des résultats encourageants ? Y a-t-il des résultats inquiétants ? 131
Têtes de petit diamètre (< 36 mm) 131
Têtes de grand diamètre (> 36 mm) 132
Resurfaçage total de hanche (RTH) 133
Quelles sont les conséquences possibles de la libération de particules métalliques ? 134
Réactions adverses locales 134
Pseudotumeurs inflammatoires 134
ALVAL (aseptic lymphocytic vasculitiis associated lesions) 135
Métallose 135
Réactions adverses générales 135
Toxicité systémique 135
Effet carcinogène 135
Effet tératogène 136
Quels sont les éléments de surveillance indispensables ? 136
Suivi clinique 136
Dosage des ions 136
Imagerie 137
Conclusion 137
Références 138
Section II\rModes de fixation 141
Reste-t-il une place pour la fixation fémorale cimentée dans l'arthroplastie totale de hanche ? 143
Introduction 143
Pourquoi abandonner la fixation fémorale cimentée ? 143
Pour avoir une fixation biologique ? 143
Pour gagner du temps ? 143
Parce que la technique de cimentation est trop difficile et exigeante ? 144
Parce que le ciment entraîne des complications spécifiques ? 144
Parce que les implants non cimentés ont démontré leur meilleure fiabilité ? 144
Les indications de la fixation fémorale cimentée en chirurgie de première intention 145
Les qualités mécaniques du tissu osseux 145
La forme du fémur 145
La taille du fémur 145
Les indications de la fixation fémorale cimentée en chirurgie de reprise 146
Paramètres influençant le choix du type de fixation 146
Le chirurgien 146
L'utilisation de greffe 146
Le type d'implant repris 146
La voie d'abord 146
La durée de l'intervention 146
Les indications des implants cimentés dans les reprises fémorales 146
La reprise d'un implant fémoral cimenté bien fixé 147
La reprise d'un implant mobile 147
Quel implant cimenté choisir ? 148
Quelle technique de cimentation utiliser ? 149
Conclusion 150
Références 151
Les tiges sans ciment : comment choisir ? 153
Introduction 153
Peut-on classer les implants fémoraux non cimentés ? 153
Quels sont les matériaux et alliages utilisés ? 153
Formes droites ou anatomiques 154
Effet de surface : nature et étendue 154
Quel dessin paraît le plus favorable à une fixation de bonne qualité et pérenne ? 155
Combien de tailles sont nécessaires ? 156
Peut-on faire une synthèse de toutes les données ? 156
La géométrie du col prothétique (angulation et offset) a-t-elle une influence sur la survie de l'implant ? 157
Latéralisation 157
Modularité tige-col 157
Tiges courtes 157
Y a-t-il des contre-indications à l'utilisation d'une tige sans ciment ? 158
En fonction de l'âge et du sexe des patients 158
En fonction de la forme du fémur, de la qualité osseuse et du type d'implant 158
L'utilisation d'une tige non cimentée expose-t-elle à un risque plus élevé de douleurs et de fractures ? 158
Evidence-based medicine 160
Conclusion 161
Références 162
Les cupules non cimentées : une fixation à géométrie variable 165
Introduction 165
Description de la technique d'implantation 166
Préparation osseuse 166
Choix de la cupule 168
Quelles sont les limites de la technique ? 169
Chirurgie de première intention 169
Chirurgie de reprise 170
Discussion 170
Résultats 170
Cas particuliers 171
Limites mécaniques de l'impaction en force 171
Indications particulières 172
Résultats en fonction de la métallurgie 172
Utilisation en fonction du couple de frottement 172
Difficultés d'extraction 172
Conclusion 173
Références 173
Passé, présent et futur des interfaces prothétiques de hanche sans ciment 175
Introduction 175
Les prothèses sans ciment, une histoire complexe et passionnante 175
Les composés phosphocalciques 176
Hydroxyapatite (HA) : bilan de 30 années d'expérience clinique 177
HA, simple « starter » de l'ostéoconduction, ou élément décisif de la fixation à long terme ? 177
L'HA est un mode efficace de fixation « biologique » 177
En quoi l'HA est-elle différente du simple métal à surface poreuse ? 177
Quel est le devenir du revêtement HA ? 178
Hydroxyapatite : laquelle, où, comment et sur quel substrat ? 179
Composition 179
Étendue du revêtement 179
Importance du substrat 180
La possible alternative à l'hydroxyapatite : la brushite 181
Les revêtements poreux 181
Quatre décennies de revêtements poreux 181
Nouvelles perspectives : les revêtements « ultraporeux » 182
Caractéristiques communes de ces nouveaux revêtements 182
Les revêtements « ultraporeux » 182
Trabecular metal™ (Zimmer Biomet, Warsaw, IN, États-Unis) 182
Tritanium® (Stryker Orthopaedics, Mahwah, NJ, États-Unis) 182
Regenerex® (Zimmer-Biomet-Warsaw, IN, États-Unis) 183
Stiktite® (Smith & Nephew, Memphis, TN, États-Unis) 183
Gription® (DePuy, Warsaw, IN, États-Unis) 183
Trabecular titanium® (Lima Corporate, Villanova di San Daniele del Friuli, Italie) 183
Les procédés de fabrication « additive » 183
Que penser de l'apport de ces structures ultraporeuses ? 184
Conclusion 185
Références 185
Section III Le diamètre des têtes prothétiques\r 187
Le diamètre des têtes prothétiques : y a-t-il une limite ?\r 189
Introduction 189
Définition et évolution 189
Diamètre de tête, instabilité, conflits et amplitudes articulaires 189
Diamètre de la tête et fonction 191
Diamètre de tête et épaisseur de l'insert 191
Couple céramique-céramique (C-C) 191
Couple métal ou céramique-polyéthylène 192
Diamètre de tête et lubrification 192
Diamètre de tête et usure 193
Effet des têtes de grand diamètre sur le cône morse 194
Complications spécifiques des têtes de grand diamètre 196
Conclusion 196
Références 196
Partie IV Les objectifs mécaniques 199
La restauration de l'offset : un objectif flou ?\r 201
Définitions : offset fémoral, acétabulaire et total 201
Analyse préopératoire de l'offset 202
Planification 2D sur radiographie du bassin 202
Planification en trois dimensions 203
Analyse peropératoire de l'offset 203
Technique chirurgicale 203
Influence du choix de l'implant fémoral 204
Apport de la chirurgie assistée par ordinateur (CAO) 205
Influence de l'offset fémoral sur les résultats de l'arthroplastie 206
Résultats fonctionnels 206
Usure, descellement et survie des implants 206
Conclusion 208
Références 208
Inégalité des membres inférieurs après prothèse de hanche de première intention\r 211
Phase préopératoire 211
Les données du problème 211
L'inégalité de longueur des membres inférieurs est fréquente 211
Chez les adultes jeunes, les inégalités de longueur < 20 mm ne sont pas symptomatiques 211
L'inégalité de longueur peut être réelle ou fonctionnelle 212
L'inégalité de longueur réelle ou fonctionnelle est associée à un bassin oblique 212
Dans quelle catégorie de bassin oblique se trouve le patient ? 212
Prothèse de hanche sur obliquité suprapelvienne 212
Prothèse de hanche sur obliquité infrapelvienne 213
Prothèse de hanche sur obliquité intrapelvienne 214
Comment mesurer une égalité des membres inférieurs avant l'intervention ? 214
Évaluation clinique 214
Mesure radiologique 215
Quels sont les repères permettant de contrôler en peropératoire la longueur des membres inférieurs opérés ? 216
Comment gérer une inégalité postopératoire ? 217
Quelle est l'inégalité de longueur acceptable en postopératoire ? 217
Quand discuter une nouvelle intervention ? 218
Ce qu'il faut retenir 219
Conclusion 219
Références 219
Comment prévenir les tendinopathies douloureuses après prothèse totale de hanche ?\r 221
Introduction 221
Méthode de recherche de la littérature 223
Résultats de la recherche bibliographique 224
Réponses aux questions 224
Quels sont les conflits douloureux et tendinopathies possibles après PTH et comment en faire le diagnostic de manière certa ... 224
Irritation de l'iliopsoas 225
Tendinopathies latérales 226
Le risque d'irritation de l'iliopsoas par la cupule est-il le même chez tous les patients, en fonction de la morphologie et ... 227
Comment prévenir l'irritation de l'iliopsoas par la cupule ? Peut-on être amené à sectionner le tendon de l'iliopsoas au co ... 229
Quelles sont les causes peropératoires des tendinopathies des muscles moyen et petit glutéaux (voies d'abord, offset excess ... 229
Existe-t-il des conflits avec les structures tendineuses et/ou vasculonerveuses dus à un débord postérieur et/ou supéri ... 229
Conclusion 230
Références 231
Prothèse totale de hanche et navigation\r 233
La réalité pratique 233
Les différents systèmes de navigation 234
Système informatique 234
Ancillaire 235
Logiciel métier 235
Des systèmes de navigation les plus simples aux plus sophistiqués 236
Navigation longueur-latéralité 236
Longueur, offset et navigation de la cupule 236
Longueur, offset, navigation des deux implants et stabilité articulaire 237
Méthode et analyse des résultats 238
Méthode 238
Résultats 238
Conclusion 240
Références 240
Partie V Les concepts particuliers 243
Double mobilité : du principe à la copie 245
Définition et principe 245
Avantages de la double mobilité 246
Amplitudes articulaires accrues 246
Stabilité prothétique optimale 247
Transmission des contraintes à l'interface cupule-os receveur 248
Dessins et matériaux 248
Dessins 248
Matériaux 248
Données cliniques 249
Usure 249
Luxation intraprothétique – ses mécanismes 250
Conclusion 251
Références 252
La double mobilité pour tous ?\r 253
Introduction 253
Quelle est la problématique de la double mobilité ? 254
Bases du raisonnement 254
Quelle est la pertinence du critère d'âge ? 254
Utilisation « classique » de la double mobilité 255
Un élargissement progressif des indications 255
Les résultats à long terme de la DM n'ont pas été décevants 255
Les implants conventionnels n'ont pas démontré de supériorité 255
Problème spécifique des sujets jeunes et actifs 256
Définition 256
Résultats 256
Prothèses standard 256
Double mobilité chez les patients jeunes 257
Problème particulier des luxations intraprothétiques 258
Ce n'est pas une luxation stricto sensu 258
Facteurs d'une usure spécifique à la double mobilité 258
Une complication générationnelle en voie de diminution 259
Application de la double mobilité aux sujets jeunes et actifs 259
Quels besoins ? 259
Données expérimentales 259
Quelles cupules ? 260
Évolutions en cours 260
Génération actuelle 260
Progrès prévisibles 261
La double mobilité pour tous ? 261
Bilan 261
Indications revisitées de la DM 262
Conclusion 262
Références 262
Les tiges courtes dans les prothèses totales de hanche 265
Introduction 265
Qu'est-ce qu'une tige courte et peut-on classer ces tiges ? 265
Avantages des tiges courtes : mythes et réalité 267
Les résultats nous permettent-ils d'évaluer la pertinence du concept et d'affiner les indications ? 267
Que retenir ? 267
Références 268
La cupule RM® : une fixation originale\r 269
Introduction 269
Historique 269
Description de l'implant RM Pressfit Cup® 270
Technique de pose 270
Résultats des trois types de cupules RM® 271
Résultats de la cupule RM Classic Cup® 271
Résultats de la cupule RM Pressfit® avec PE standard UHMW 271
Résultats de la cupule RM Pressfit Vitamys® 272
Analyse critique de l'implant 273
Avantages 273
Inconvénients 274
Conclusion 275
Références 275
Le resurfaçage de hanche : une mode passée ou raisonnée ? 277
Introduction 277
Quels sont les avantages du RTH ? 278
Le RTH a-t-il des inconvénients ? 279
Inconvénients d'ordre mécanique 279
Fracture du col fémoral 279
Stress shielding fémoral 280
Échecs fémoraux 280
Impossibilité de correction d'une anatomie préopératoire perturbée 281
Difficultés techniques 281
Inconvénients liés au couple MoM 282
Risque carcinologique 282
Libération des ions métalliques 282
Comment choisir l'implant et le matériau ? 283
Quelles sont les spécificités techniques et la courbe d'apprentissage ? 283
Quels sont les résultats à moyen et long termes ? 284
Quelles sont les indications ? 284
Conclusion 285
Références 286
Partie VI Les situations particulières 289
Dysplasie et luxations congénitales 291
Anatomopathologie et classifications 291
Classification de Cochin 291
Classification de Crowe 292
Classification de Hartofilakidis\r 292
Classification de la Société française de la hanche et du genou (SFHG) 292
Bilan préopératoire 294
Bilan clinique 294
Terrain 294
Examen clinique 294
Bilan paraclinique 294
Technique chirurgicale 295
Voies d'abord 295
Principes du choix 295
Abord transtrochantérien 295
Abord transfémoral 296
Comment bien réduire une luxation ? 297
Comment fixer une cupule dans les dysplasies et subluxations ? 298
Stratégies de recentrage dans les luxations hautes 298
PTH après chirurgie conservatrice préalable 298
Ostéotomies fémorales intertrochantériennes 298
Après ostéotomies fémorales sous-trochantériennes de type Milch ou Schanz 299
Après butée 299
Après ostéotomie pelvienne 299
Résultats 299
Quels sont les facteurs de succès d'une PTH sur MLH ? 300
Références 301
Partie VII L'environnement de la chirurgie 303
Gestion périopératoire de la prothèse totale de hanche au CHU de Rennes 305
Analgésie et épargne sanguine 305
Introduction 305
En préopératoire 305
En peropératoire 305
En postopératoire 307
Conclusion 307
Réhabilitation améliorée encadrant la chirurgie prothétique de la hanche 309
Pour un retour rapide au domicile 309
Introduction 309
Patients éligibles 309
Critères d'éligibilité 309
Critères de non-éligibilité 309
Organisation préopératoire 310
Organisation peropératoire 310
Logistique postopératoire 312
Dans le service 312
Le retour à domicile 312
Conclusion 313
Références 314
Faut-il rééduquer les patients après arthroplastie totale de hanche de première intention ? 317
Introduction 317
Méthode de recherche 317
Résultats de la recherche 317
Sélection des études 317
Description des études 318
Évaluation des études 318
Extraction des données 318
Résultats de l'analyse de la littérature 318
Autorééducation versus rééducation 318
Autorééducation versus absence de rééducation 321
Utilisation d'autres moyens de rééducation 321
Analyse des résultats 321
Comparaison à la littérature 321
Implications pour la recherche 322
Conclusion 322
Références 322
Doit-on opérer les sujets jeunes ? De quelle manière ? 325
Introduction 325
Dessin d'une tige fémorale optimale 325
Fixation de l'implant fémoral 326
Considérations sur les couples de frottement 328
Métal-polyéthylène 328
Céramique-céramique 328
Métal-métal 328
Céramique-polyéthylène 329
Double mobilité 329
Reprise de l'activité physique après PTH chez les sujets jeunes 329
Conclusion 329
Références 331
Participation sportive après prothèse totale de hanche 333
Introduction 333
Patients et méthode 333
Résultats 334
Discussion 339
Conclusion 342
Références 342